"Coeurs perdus en Atlantide" de Stephen KING
1960 : Enfant triste et rêveur, entre un père disparu et une mère en proie à des soucis d’argent, Bobby fait la connaissance d’un voisin mystérieux, qui se dit traqué par de mystérieuses crapules en manteau jaune.
1966 :
à l’université, Pete mène joyeuse vie entre la musique, la contestation
et les cartes, sur fond de guerre au Vietnam.
1983 :
Willie, vétéran de la guerre, gagne sa vie en jouant les aveugles — une
cécité qui est aussi une forme de provocation.
Des destins différents qui se croisent autour d’une femme, Carol. Tous l’ont aimée. Bobby la retrouvera.
L’Atlantide ?
C’est l’Amérique de leur jeunesse, au long de ces sixties devenues
légendaires mais qui, nous rappelle l’auteur, ont bel et bien existé...
C’est un Stephen King inédit qu’on découvre dans ce roman-fresque. Un
King dont les thèmes d’élection — l’enfance, la malédiction, la peur —
entrent ici en résonance avec toute une époque.
Le grand et sans doute le meilleur livre jamais écrit par King... Une réussite absolue tant sur la forme que sur le fond.
Bruno Corty, Le Figaro
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