lundi 7 mars 2016
ROMANS ADULTES
"Lady A." de Henri Courtade
En l an de grâce 1194, Lady Rowena de Windermere, agent de Sa Majesté Richard Coeur de Lion, a pour mission de dérober aux Templiers des documents hérétiques menaçant la paix en Occident. De Venise à l Écosse, en passant par l'Aquitaine d'Aliénor, Rowena dévoilera un terrible secret qui fera basculer sa vie et celle de tous ceux qui croiseront sa route. Dans un monde où les trahisons et les complots sont la règle, l amour sera-t-il assez fort pour la sauver des griffes de la mort ? Pourchassée sans relâche par des ennemis de l ombre, à qui pourra-t-elle accorder sa confiance ?
Une épopée historique au c ur du Moyen Age, des communautés templières et autres sociétés secrètes. L alliance entre l énigme, la romance, l espionnage et le voyage fait de l héroïne de ce roman une véritable James Bond du XIIe siècle !
"Je reste roi d'Espagne" de Carlos Salem
Juan Carlos a disparu, laissant derrière lui une note énigmatique : “Je pars à la recherche de l’enfant. Je reviendrai quand je l’aurai trouvé. Ou pas. Joyeux Noël.” Pour le retrouver, le ministre de l’Intérieur joue sa dernière carte : José Maria Arregui, l’inspecteur mélancolique et sanguin qui, quelques années plus tôt, a par hasard sauvé la vie du roi une première fois… Quelques semaines avant Noël, le roi d’Espagne a quitté sa résidence, laissant derrière lui un mot dont personne ne comprend le sens. Tout effort pour retrouver sa trace s’avère vain et l’on fait appel, en dernier recours, à un ex-flic, le détective Arregui (déjà croisé dans Nager sans se mouiller) qui lui a jadis sauvé la vie et qui, pour résoudre les cas qui se présentent à lui, doit chercher l’inspiration dans les cabines vidéo des sex-shops. Poursuivi par sa propre mélancolie, par des policiers corrompus et par les hommes de main d’un puissant personnage connu sous le nom du “Chasseur”, Arregui se perd dans une Espagne arriérée, située à une centaine de mètres seulement des grandes routes, traversée par des personnages aussi étranges qu’un voyant “rétroviseur” qui ne peut deviner que le passé, qu’un chef d’orchestre ayant perdu la symphonie censée guérir tous les chagrins, ou qu’un roi déguisé en hippy persuadé de vivre un film d’aventures. Pour revenir à Madrid, ils doivent traverser une rivière dont personne ne se souvient du nom et accepter “que les canards puissent canarder les fusils”. Avec ce matériau, Carlos Salem construit son troisième roman, un road trip dans lequel, derrière l’humour et l’action présents dans tous ses livres, transparaît la tendresse des personnages poursuivis par le temps au rythme doux et mortel d’une ranchera mexicaine.
"Rouges ténèbres" de Nicolas Cluzeau
Istanbul, 1555. Par une pluvieuse nuit d'hiver, l'un des plus célèbres calligraphes de la capitale ottomane est sauvagement assassiné. À la demande du palais impérial, Sertaç, officier vétéran du corps des sipahis, est chargé de l'enquête. Aidé d'Aliyé, sa petite-fille, aux dons aussi précieux qu'embarrassants, il remonte la piste d'un témoin en fuite. Tous les indices convergent pour désigner la pègre stambouliote sur laquelle règne le sanguinaire Férouz. Mais de mystérieux documents attisent la convoitise de trop nombreux curieux, la piste du fuyard est encombrée de pièges, le ciel lourd de menaces de mort. Secondés par Sinan, un jeune officier zélé et ambitieux de l'école des pages, Sertaç et Aliyé vont se perdre dans les jardins impériaux et hanter les bas-fonds d'Istanbul. Il leur faudra affronter les rouges ténèbres d'une terrible conspiration. Une conspiration qui pourrait bien ébranler les bases mêmes de l'Empire ottoman...
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